Ces carences varient selon les régions et sont exacerbées par des régimes alimentaires pauvres en nutriments ou dominés par des aliments ultra-transformés. Les carences en vitamines et micronutriments essentiels entraînent des conséquences majeures sur la santé globale, souvent invisibles à court terme mais dévastatrices à long terme. Elles affaiblissent le système immunitaire, augmentent les inflammations chroniques et la vulnérabilité aux infections, tout en compromettant les fonctions énergétiques, provoquant fatigue chronique et perte de vitalité. Ces déficits aggravent également les maladies chroniques comme l’ostéoporose, les troubles cardiovasculaires et neurologiques, tout en affectant la croissance, la régénération cellulaire et le bien-être mental. En somme, ces carences minent progressivement la qualité de vie, créant un cercle vicieux où santé physique, mentale et sociale sont profondément impactées. Une solution proactive, comme une supplémentation adaptée, est souvent indispensable pour préserver l’équilibre et prévenir ces risques généralisés. Ce pourcentage confirme une tendance mondiale et souligne la nécessité de recourir à des suppléments pour garantir un apport adéquat en micronutriments essentiels, souvent absents des régimes dominés par des aliments transformés. Les carences les plus courantes touchent des vitamines essentielles dont les impacts sur la santé sont majeurs. La vitamine D3, par exemple, est déficiente chez près de 40% de la population mondiale, particulièrement dans les pays développés. Ce manque, souvent causé par une faible exposition au soleil, peut affaiblir les os, réduire l’immunité et augmenter les risques cardiovasculaires. La vitamine B12, essentielle au fonctionnement neurologique, manque chez environ 10% des individus de moins de 60 ans et jusqu’à 20% des plus âgés, entraînant fatigue, troubles cognitifs et anémie. La vitamine A, cruciale pour la vision et le système immunitaire, est également préoccupante : son déficit est une cause majeure de cécité évitable et affecte les populations ayant une alimentation pauvre en produits d’origine animale. La vitamine B6, impliquée dans le métabolisme énergétique et la synthèse des neurotransmetteurs, est insuffisante chez 10 à 25% des adultes, causant irritabilité, faiblesse et troubles de l’humeur. Les folates (vitamine B9) sont fréquemment déficients, en particulier chez les femmes en âge de procréer, ce qui peut entraîner des malformations congénitales et une anémie macrocytaire. Les carences en vitamine C, antioxydant clé, bien que moins fréquentes, persistent chez certains groupes à risque, provoquant fatigue et affaiblissement des défenses immunitaires. En second plan, d’autres vitamines comme la vitamine K2 et la vitamine E, souvent négligées, sont également insuffisantes. La vitamine K2, cruciale pour la santé osseuse et vasculaire, manque chez ceux dont l’alimentation est pauvre en aliments fermentés. La vitamine E, indispensable pour protéger les cellules des dommages oxydatifs, est insuffisante chez plus de 20% des adultes. Les carences en niacine (B3), acide pantothénique (B5), biotine (B7), thiamine (B1), et riboflavine (B2), bien que moins visibles, affectent l’énergie, la santé de la peau, et le système nerveux. Ces carences illustrent l’importance d’une supplémentation ciblée pour combler les besoins et maintenir un fonctionnement optimal du corps.